Les États-Unis ont annoncé ce 7 avril la reprise de leur aide aux Palestiniens, interrompue sous la présidence de Donald Trump, une décision à laquelle s’est immédiatement opposé l’ambassadeur d’Israël à Washington mais qui a été saluée par l’Agence d’aide aux réfugiés palestiniens des Nations unies (Unwra).
Cette aide à l’agence de l’ONU qui s’occupe des réfugiés palestiniens atteindra 235 millions de dollars. En détail, les États-Unis contribueront de nouveau au financement de cette agence à hauteur de 150 millions de dollars. Washington versera aussi 75 millions de dollars pour le développement et l’économie de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, et 10 millions de dollars pour le processus de paix.

« L’aide américaine au peuple palestinien sert les intérêts et les valeurs des États-Unis. Elle apporte une aide cruciale à ceux qui en ont besoin, favorise le développement économique et soutient le dialogue israélo-palestinien, la coordination de la sécurité et la stabilité », a justifié le secrétaire d’État Antony Blinken dans un communiqué.
L’ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Gilad Erdan, a dans la foulée exprimé sa « déception » et son « désaccord ». Les États-Unis auraient dû « d’abord s’assurer que certaines réformes soient accomplies, visant notamment à mettre un terme à l’incitation (à l’antisémitisme) et à retirer les contenus antisémites des programmes scolaires »,
Cette aide à l’agence de l’ONU qui s’occupe des réfugiés palestiniens atteindra 235 millions de dollars. En détail, les États-Unis contribueront de nouveau au financement de cette agence à hauteur de 150 millions de dollars. Washington versera aussi 75 millions de dollars pour le développement et l’économie de la Cisjordanie et de la bande de Gaza, et 10 millions de dollars pour le processus de paix.
« L’aide américaine au peuple palestinien sert les intérêts et les valeurs des États-Unis. Elle apporte une aide cruciale à ceux qui en ont besoin, favorise le développement économique et soutient le dialogue israélo-palestinien, la coordination de la sécurité et la stabilité », a justifié le secrétaire d’État Antony Blinken dans un communiqué.
L’ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Gilad Erdan, a dans la foulée exprimé sa « déception » et son « désaccord ». Les États-Unis auraient dû « d’abord s’assurer que certaines réformes soient accomplies, visant notamment à mettre un terme à l’incitation (à l’antisémitisme) et à retirer les contenus antisémites des programmes scolaires », a-t-il ajouté.
RFI
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